Les fantômes ne hantent pas les lieux où l’on travaille. Un homme en activité, quel que soit ce qu’il produise, n’a pas place en lui pour les fantômes. Par contre, dans les vieilles familles aristocratiques, dans celles du moins qui persistent à vivre d’une vie d’oisiveté, d’une absence de vie, il y a place pour les fantômes.