Nationalité : France
Né(e) le : 17/01/1945
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Né(e) le : 17/01/1945
Biographie :
René Laporte est ingénieur agronome, zootechnicien, diplômé de l'Institut National Agronomique Paris en 1969.
Il a été ingénieur à l'Institut de l’élevage, contrôle des performances et sélection des races bovines à viande (1969-1974) et Directeur de la FFCB (Fédération Française des Commerçants en Bestiaux) et ensuite de la CEBV (Confédération des Entreprises Bétail et Viande) (1975-2001).
Depuis 2002, il est consultant dans les domaines du commerce international du bétail et de la viande, de la politique agricole commune de l'Union Européenne et du bien-être animal.
Membre de l’Académie de la viande, René Laporte auteur et chroniqueur pour "Viande Magazine".
Il a publié, avec Pascal Mainsant, "La viande voit rouge" chez Fayard (2012).
+ Voir plusRené Laporte est ingénieur agronome, zootechnicien, diplômé de l'Institut National Agronomique Paris en 1969.
Il a été ingénieur à l'Institut de l’élevage, contrôle des performances et sélection des races bovines à viande (1969-1974) et Directeur de la FFCB (Fédération Française des Commerçants en Bestiaux) et ensuite de la CEBV (Confédération des Entreprises Bétail et Viande) (1975-2001).
Depuis 2002, il est consultant dans les domaines du commerce international du bétail et de la viande, de la politique agricole commune de l'Union Européenne et du bien-être animal.
Membre de l’Académie de la viande, René Laporte auteur et chroniqueur pour "Viande Magazine".
Il a publié, avec Pascal Mainsant, "La viande voit rouge" chez Fayard (2012).
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Citations et extraits (2)
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Le choix du végétarisme peut avoir des racines plus intimes. Certaines personnes jugent inconcevable de manger la chair d'un animal dont elles se sentent proches au point de le considérer comme un "quasi-semblable" (notre propre corps étant constitué de chair, de muscles et de sang, tout comme celui des animaux qui fournissent leur viande à l'homme). Pour accepter sans répulsion l'idée d'ingérer de la viande, il faut donc pouvoir établir, consciemment ou inconsciemment, une distinction claire entre soi et l'animal, entre humanité et animalité.
(p. 25)
(p. 25)
Tout a donc été pensé pour optimiser le rapport entre le poids pris par les animaux et les coûts associés à leur élevage : hypersélection des races ; concentration dans des espaces réduits ; utilisation de lumière artificielle et d’hormones pour accélérer la croissance des animaux (interdites pour les bovins en France mais utilisées pour d’autres espèces) ; administration massive d’antibiotiques de manière préventive afin de prévenir le développement et la transmission de diverses pathologies (que la concentration des élevages favorise).
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