Selon lui, un serviteur ( s'il avait connu l'adjectif, il eût précisé : un serviteur snob, car les bons serviteurs le sont plus que leurs maîtres) doit conserver son flegme en toute circonstance - devant l'orgie, la bêtise des ivrognes, les coups de revolvers dans les glaces, les intrusions de maris, les confidences d'amants qui s'ennuient, et même quand certains clients, bien rares par bonheur, exigent de boire froid le bourgogne rouge.