Seigneur, j’aime Yseut éperdument au point d’en perdre le sommeil. Ma décision est irrévocable ; j’aime mieux vivre comme un mendiant avec elle, me nourrir d’herbes et de glands, plutôt que de posséder le royaume d’Otran. Ne me demandez pas de la quitter car, vraiment, c’est impossible.