La chanson monotone décomposait la quiétude ambiante. Lorsqu’elle cessait, on n’entendait plus que le crépitement de la brousse séchée par le soleil ou l’éclatement des siliques ( cosses) des tamariniers ; on ne percevait plus que tous ces bruits menus dont est fait le silence. Puis la chanson reprenait plus indistincte, là-bas…