Un sourire se dessina sur les lèvres de Devlin. C’était bien la première fois qu’un élan de gaieté illuminait son visage depuis qu’il avait quitté son bureau, deux semaines plus tôt, en claquant la porte. Il fallait qu’il fût témoin de la mésaventure d’une charmante Américaine aux prises avec un douanier irlandais un peu étroit d’esprit pour qu’il réussît à oublier les circonstances de son départ brutal de Chicago.