Renée Saurel fut successivement journaliste et critique dramatique à Combat, l 'Express, les Lettres françaises (où, à la demande d'Aragon, elle assura notamment la critique des émissions de radio et de télévision jusqu'en 1972), traductrice du théâtre d'Ödön von Horvath, proche de Sartre et Simone de Beauvoir. Pendant trente-trois ans, de 1952 à 1984, elle publia des chroniques dramatiques dans la revue les Temps modernes
On lui doit également, publiée en 1981, sous le titre l'Enterrée vive, une précieuse enquête sur les mutilations féminines qui fait encore autorité.