Utilisant notre histoire, à l'instar de Camus avec Caligula, l'auteur nous renvoie à notre propre goût pour les machinations. Quiconque a lu Kay ressort de son histoire avec un sentiment trouble. Celui qui se développe lorsqu'on fait siennes les grandes questions de l'auteur sur notre propre humanité.
("Kay: un auteur de fantasy ?" - Christophe Besly)