Mais déjà, comme en été, un nuage noir faisait frissonner les pans éclatants des champs.
C'est comme cela que les poètes découvrent les traces de leur destin.
C'est dans ces traces qu'ils trouvent les signes de leurs défaites.
Alors ils courent volontairement à leur perte, pour accélérer le mouvement afin de vivre plus vite encore leurs chagrins