On alla jusqu'à détruire le cimetière juif et les pierres tombales servirent à toutes sortes de constructions, notamment pour les marches des églises Saint-Selaldus et Saint-Laurent sur lesquelles on peut encore voir les traces d'inscriptions hébraïques.
Pendant les siècles qui suivirent Nuremberg eut le triste privilège d'être un bastion de l'antisémitisme.
Du XVIe siècle au XIXe siècle aucun Juif n'eut le droit de s'y installer.