En tant qu’individu, il appréciait le métier de policier ; cela lui permettait de faire le bien ; cela le plaçait du bon côté. Politiquement, il considérait la police comme un corps impartial dévoué au bien d’une nation qui, de manière raisonnable et décontractée, se dirigeait lentement vers un socialisme consacré à l’élimination pacifique de cette classe suffisante et triomphante dont les affaires et les biens avaient pour seul but de perpétuer son existence dans le luxe.