« Il y a des gens qui devraient être morts, mais qui continuent pourtant de marcher. Un blasphème à la vie elle-même. […] Des enfants sont morts, des petits et des grands. Partis dans la grotte, ils se sont relevés tels des revenants et ont continué de vivre là où leur destin n’existait plus. Normaux dehors, mais en décomposition dedans. Les renvoyer vers la terre, c’est ce qu’il faut faire. » (p. 96)