Citation de LiliGalipette
- Venez voir ! On a un monstre de plus à l’école !
Des rires, des rires. Pas seulement ceux de Pinotte et de sa bande – ça, je m’y attendais – mais aussi de plusieurs autres élèves qui s’éveillaient soudain de leur léthargie et ne trouvaient rien de mieux à faire que de ricaner.
J’avais l’impression de vivre un cauchemar.
Et que crois-tu qu’Amélie vivait, elle ? Une fête pour son anniversaire ? Bien sûr que non, cher journal ! Depuis le temps que j’assistais aux assauts de Pinotte sur Marie, sur moi, sur Thomas, le printemps dernier, et sur un tas d’autres élèves, plus rien de ce qu’il pouvait imaginer ne m’impressionnait. Mais cette fois, on aurait dit que toute l’école s’en mêlait, comme si plus personne tout à coup n’était sain d’esprit.
Marie a ramassé le béret et la perruque que Pinotte avait jetés par terre, et a aidé Amélie à se relever. Elle a tourné la tête vers lui et a dit :
- Il n’y a qu’un monstre ici, et c’est toi.
Des rires, des rires. Pas seulement ceux de Pinotte et de sa bande – ça, je m’y attendais – mais aussi de plusieurs autres élèves qui s’éveillaient soudain de leur léthargie et ne trouvaient rien de mieux à faire que de ricaner.
J’avais l’impression de vivre un cauchemar.
Et que crois-tu qu’Amélie vivait, elle ? Une fête pour son anniversaire ? Bien sûr que non, cher journal ! Depuis le temps que j’assistais aux assauts de Pinotte sur Marie, sur moi, sur Thomas, le printemps dernier, et sur un tas d’autres élèves, plus rien de ce qu’il pouvait imaginer ne m’impressionnait. Mais cette fois, on aurait dit que toute l’école s’en mêlait, comme si plus personne tout à coup n’était sain d’esprit.
Marie a ramassé le béret et la perruque que Pinotte avait jetés par terre, et a aidé Amélie à se relever. Elle a tourné la tête vers lui et a dit :
- Il n’y a qu’un monstre ici, et c’est toi.