La Grèce à cette heure ressemblait à une toile de Giorgione. Et Marsyas s’y promenait en savourant sa joie. Il avait quitté les hommes, il lui paraissait que le paysage poussait autour de lui à mesure qu’il marchait. Son étonnement allait croissant de découvrir une nature neuve et élyséenne.