"Les renforts de police arrivent, font peu à peu reculer les reporters, cameramen et photographes. Nous sommes tous partagés entre l'effroi d'assister à de telles scènes et la jubilation, que certains pourront trouver malsaine mais qui fait partie du métier, d'être là, à ce qui sera par la suite dénommé "Ground Zero", le "point zéro" de cette journée. Nous savons qu'elle entrera dans l'histoire. Pour un reporter, c'est là qu'il faut être."