- La vogue des journaux intimes tient, dans notre siècle, à un principe beaucoup plus sérieux. A qui la devons-nous sinon aux Luthériens ? En écartant les pénitents de la pratique de la confession, ceux-ci se sont vus privés d'une parole et d'une écoute qui les soulageaient. De nos jours, le confessionnal fermé, l'on se confie au papier.