Au début, elle était résolue à ne plus jamais le revoir. Mais, à mesure que les jours passaient, une sorte de trou avait grandi à l'intérieur d'elle, une sensation de faim ou d'asphyxie, la certitude désolante d'être incomplète. Avec le temps, la folie de l'amour, du désir d'amour, avait commencé à s'allumer dans sa tête. (p. 57)