(...) Pablo a été mon premier amour et je crois que j'ai reporté sur lui des besoins démesurés, maintenant je le comprends et j'en suis vraiment désolée. (...)
Elle savait que son besoin d'amour n'avait pas de fin, que sa capacité d'affection était insondable et que cette carence lui causait une douleur si aiguë qu'elle pouvait en perdre la raison. (p. 162-163)