Citations de Ryoji Minagawa (57)
Si on travaille pour gagner sa vie, pourquoi se tuer au travail.
- Je peux m'asseoir ?
- T'es déjà assise, si je ne m'abuse.
- You said you're a duelist, yes ? I hope you are prepared to die like one...
- I had a feeling we'd find some skeletons in their closet. But I never thought they'd save my ass ! A moment later and I'd have been Swiss cheese !
- If we go down, we go down as brave men !
- NO ! If we die here, the resistance is finished ! There is nothing brave about throwing your lives away !
- Dans une autre vie, en entendant mon nom, celui de Death Slinger; les gens tremblaient. Ce n'est pas un chacal qui m'aura. Misha Androv. C'est mon vrai nom. Celui que je donne à ceux que je croise qui ont encore un cœur.
Quelle cruauté du sort... Je l'ai entraîné dans cet univers, pour finalement l'y transpercer de mes lames... Mon propre fils... Je ne suis plus digne d'être mère... Je suis désolée, Gucci, Adri... Je suis tellement désolée...
Maybe babysitting Nicola hasn't weakened me after all. She's made me stronger !
Apprends à faire le vide dans ton cœur. Que tes muscles ne se meuvent plus que par instinct ! Si tu as bien assimilé toute la technique qui t'a été inculquée, ton corps saura comment agir.
- C'était moins une, le vieux. Bon, faut finir le travail et se tirer.
- Pourquoi es-tu revenu ?!
- Oh, je ne suis pas venu pour te sauver la peau ! Mais je déteste être redevable. Disons qu'on est quittes pour le repas de tout à l'heure.
- Hé hé hé... Le sang ne trahit pas, je le savais. Gucci, ton père, était lui aussi un homme d'honneur.
Une chose ne change pas selon les pays, c'est la tronche des gens qui élisent résidence dans ce genre de trous à rats... Bonjour le coupe-gorge...
- Même les plus faibles éléments peuvent donner la victoire selon la manière dont on s'en sert... C'est la même chose à la guerre. Un plan minutieux, une préparation scrupuleuse et surtout, une vraie capacité d'adaptation... peuvent effacer la différence d'effectifs armés.
- Je dois avouer que j'ai eu très peur, cette fois. Nous devons vraiment être bénis pour avoir survécu.
- Ça va pas ? On doit plutôt être maudits pour se taper autant d'ennuis, où qu'on aille!
- Quelle ironie, on l'appelle le Pacificateur. N'est-ce pas absurde ? On s'en sert pour dézinguer des gens par paquets, et quelqu'un a trouvé amusant de l'affubler de ce surnom. Ce devait être un cynique, et j'espère pour lui qu'il ne s'est jamais fait descendre !
- Mais au fait, ton revolver ne tire jamais sur les gens, non ? C'est une relique, c'est ça ?
- Tout à fait. Il ne marche pas contre les gens. Ce revolver ne dirige sa sentence que contre les démons. Ces créatures capables de voler leur vie aux gens sans éprouver le moindre remords... Les démons qui revêtent apparence humaine.
Ce monde court à sa perte : même les paris sur la vie ou la mort se font au vu et au su de tout le monde. J'imagine que ça s'arrêtera quand tous les duellistes se seront entre-tués et qu'il n'en restera plus qu'un. [...] C'est comme ça : par le temps qui courent, un duelliste ne peut espérer se remplir la panse qu'en mettant sa vie dans la balance.
- Soit tu es ma prisonnière, soit tu meurs. Je te laisse libre de ce choix.
- Tu parles d'un choix ! Tu ne me laisses pas beaucoup d'alternative ! [...] On a le droit d'être libre de mener l'existence qu'on veut. Désolée, mais franchement, pas question de devenir ton petit canari. Si tu persistes à vouloir me mettre en cage... Alors tant pis, cela aura été plus tôt que prévu... Mais réglons définitivement notre problème ici.
- En fait, je suis le gardien du monde. Je ne peux donc pas mourir ! C'est pour cela que j'ai repoussé toutes mes limites. Mon peacemaker m'aide à porter ce lourd fardeau. Ma mort signifierait un déséquilibre immédiat. Les armes de destruction massive se répandraient comme la peste à travers le monde. Es-tu toujours prêt à pointer ton canon sur moi, maintenant que tu sais tout cela ?!
Je pensais qu'on perdait son chez-soi uniquement au moment de mourir. Je n'aurais jamais imaginé survivre, dans un état aussi déplorable. Sans doute la rançon d'avoir pris tant de vies... Où vais-je pouvoir trouver ma place, si j'ai perdu jusqu'à ma demeure ?
J'ai fait ce qui devait être fait. J'y suis presque... AU SOMMET...