« Je repensai à nos jeux dangereux dans les montagnes danoises quand nous étions gamins, et à ce moment fatidique où j'aurais préféré mourir à sa place plutôt que de le voir, après sa lourde chute, ressusciter en un être qui n'était plus que l'ombre de lui-même. Un être hanté par l'âme du mal en personne, par l'âme d'une entité sans cœur et sans scrupules : celle d'Arès, le dieu de la guerre. »