Sabrina Philippe nous explique comment relativiser quand on a peur de la mort.
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Il y a des personnes qui nous touchent plus en une fraction de seconde, en quelques heures, en un sourire que d'autres ne nous toucheront jamais en une vie
Nous n'avons pas fait l'amour, nous étions l'amour. Toute la nuit, nous nous sommes enivrés ainsi l'un de l'autre.
Ta lumière révèle ma lumière,
C'est en te cherchant que je me suis trouvée
Je ne pensais pas qu'il aurait le visage d'un ange, mais si vous en avez le visage, vous n'en avez pas la plume.
Je vous souhaite juste un jour de pouvoir faire l'amour avec votre âme ; c'est la plus belle des danses, une union sacrée où les corps n'existent plus.
Éloignez-vous de l’illusoire, allez à l’essentiel. La vieillesse vient sans prévenir. Vous pensez avoir du temps, mais croyez-moi, le sablier gigantesque que vous pensez tenir entre vos mains se révélera ridiculement petit dans quelques années.
C’était bien de la peur qu’elle avait éprouvée dès la première seconde de cette rencontre improbable, de la peur. La peur d’avoir à survivre sans lui dans un monde où il lui manquait déjà bien avant qu’elle ne le connaisse.
Il ne faut jamais remettre au lendemain les mots d’amour que nous portons en nous.
Demain n’existe pas, demain est toujours trop tard.
Et je souris en pensant qu'ils avaient pu enfin s'aimer, de cet amour charnel "qui est un délice pour l'âme", avant de quitter cette terre.
Avoir un enfant, c’est apprendre à mourir,
C’est se regarder perdre des années,
pendant qu’il en gagne,
C’est, à l’unisson, grandir.