Un jour, elle se mit à se flageller avec un sangle de cuir sur laquelle elle avait elle-même planté des clous qui lui arrachaient la peau du dos à chaque fois qu’elle en faisait usage pour se punir. Chaque morsure de l’instrument de torture provoquait en elle une sorte de soulagement. En ayant mal dans sa chair, elle oubliait un peu son mal à l’âme. Chaque blessure apaisait un peu sa colère. Enfin, pour quelques jours.