La Révolution française se caractérise par de profondes ruptures tant sociales que politiques : la fin de la Monarchie absolue et l'abolition des privilèges marquent la chute de l'Ancien Régime, tandis que la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen donne naissance à une nation souveraine composée de citoyens égaux.
Le 13 octobre 1790, Talleyrand explique qu'il faut respecter le développement historique de l'art et que l'art doit servir à l'instruction. L'Assemblée décide alors de lancer un inventaire et crée la commission des monuments ;
Après avoir abattu ce que l'on appelle désormais "l'Ancien Régime", les patriotes s'efforcent de bâtir un nouvel ordre social et politique fondé sur la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Toutefois, la Révolution ne s'achève pas avec la proclamation de la Déclaration le 26 août 1789. En effet, les conflits se développent, en raison notamment de l'opposition à la Révolution du roi et de l'aristocratie, d'une part, et des frustrations éprouvées par les démocrates et le peuple face aux limites des réformes menées sous la monarchie constitutionnelle, d'autre part.
La trahison du roi et l'entrée en guerre provoquent la mobilisation populaire et la chute de la monarchie ; la proclamation de la République s'accompagne d'ne expérience démocratique, mais aussi de l'aggravation des affrontements.