Autant j'avais beaucoup aimé le livre de Guillaume Bailly, qui montrait vraiment le quotidien des pompes funèbres et révélait surtout les drames ordinaires auxquels il était confronté avec beaucoup de retenue, de délicatesse et d'émotions, autant je me suis ennuyée avec cette adaptation graphique qui mise beaucoup plus sur la touche humoristique.
On retrouve bien les petits encarts pédagogiques, les histoires de décès plus ou moins originaux, les enterrements rocambolesques et les réactions parfois étranges des proches des défunts, mais je n'ai pas aimé le ton joyeux de cette bande dessinée.
On ne retrouve pas du tout la finesse d'esprit et la compassion dont faisait preuve l'auteur dans son récit initial.
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Un roman graphique passionnant. Le métier de "croque-mort" est dépeint avec humour et réalisme - des clichés se brisent. J'ai particulièrement apprécié les magnifiques illustrations de Samuel Rimbault en noir et blanc (et bleu) ! Un régal que je conseille à tous !
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Un peu d'humour noir avec Nos sincères condoléances. Ce roman graphique aborde le métier de croque-mort avec humour et réalisme. Entre les clichés et les anecdotes, vous parviendrez à sourire et à dédramatiser certaines situations. Les illustrations sont superbes et quelques "jeux" sont présent. Ce roman graphique est une petite pépite mettant en avant ce métier au final bien méconnu.
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Quand j'ai eu connaissance de la sortie de ce livre, je me suis réincarnée en Zébulon. En effet, j'ai lu tous les pastiches de Pascal Fioretto, qui sont tellement fidèles aux auteurs d'origine qu'on les croirait authentiques. De plus, je suis fan du Journal d'un dégonflé, dont je ne rate pas un tome. Et cerise sur le gâteau, je me doutais bien que ce livre serait à charge contre Micron, ce qui fait que les 99 pages semblent bien peu. Je n'ai pas été déçue. Fioretto respecte parfaitement le style de la série des romans jeunesse (et quoi d'autre pour parler des "grosses bêtises" d'un président capricieux comme un gosse de sept ans) et il rappelle toutes les bourdes, essentiellement volontaires de ce début de quinquennat. Bref, ça fait du bien de rire de tout cela. Merci M. Fioretto.
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Le quotidien parfois rocambolesque d'un employé des pompes funèbres. Au delà des anecdotes croustillantes, le livre propose aussi des explications étymologiques (mais toujours avec humour) sur le vocabulaire employé dans ce domaine.
La présence de quelques jeux (mots fléchés, différences...) détonne un peu mais donne une touche inédite à la bande-dessinée.
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