La vie du commun des mortels est souvent triste, monotone, réglée comme du papier à musique. La plupart s’en contentent ; pour un petit nombre, c’est insupportable. Elle est de ceux-là. Elle revient vers moi, s’assied sur mon bureau. J’imagine un film de cul. Elle s’assied face à moi, ouvre ses cuisses et m’invite à lui bouffer la chatte. Je ferme les yeux, deux secondes, pour mieux sentir son parfum. Non, définitivement, je n’aime pas les femmes.