La seule solution que j'avais trouvée, c'était de l'éviter. Je devenais parano. Je croyais distinguer sa silhouette partout. Je commençais à avoir des comportements étranges aux yeux de mes copines (...) Parfois, je me retournais brusquement, parce que j'avais la sensation qu'il était là, juste derrière moi. Où que j'aille, j'avais le sentiment de me jeter tout droit dans la gueule du loup. Je n'arrivais plus à faire semblant que tout allait bien. J'alternais entre un réelle peur d'être à nouveau confrontée à lui et l'impression que je dramatisais les choses (...).