Et si Dieu, comme le Simurgh, ce roi des oiseaux du mythe persan, n'était que l'ensemble de ceux qui croient en lui ? Ou plus simplement de ceux qui croient, c'est-à-dire de ceux qui vivent ? Par là on en arriverait à l'idée d'un Dieu qui ne serait que par nous, se confondant avec l'élan qui nous porte à le chercher, sus n'importe quelle forme, et à croire en ce qui nous fait vivre.