Pétrifiée sur le seuil de la chambre, je contemple avec horreur les fesses nues de mon petit ami, qui montent et descendent en cadence comme les pistons d'un moteur emballé. Ses épaules me cachent le visage de sa partenaire, mais j'entends ses cris de plaisir, auxquels répondent les ahans gutturaux de Max.