Les jours, dans le manoir de Century, s'écoulaient en effet immuablement, sans que jamais rien ne changeât. Rien de nouveau ni même d'étrange ne devait jamais perturber le cours des événements. L'idée même de l'aube et du crépuscule n'était peut-être qu'une illusion ; la demeure était perpétuellement baignée dans l'obscurité.