Accomplir quelque chose par elle-même au lieu de tenir son pouvoir du fait qu’elle était l’ombre de son mari lui paraissait aller contre toutes ces vertus féminines auxquelles elle croyait si fermement. Il lui semblait inconcevable qu’elle pût, alors qu’elle était veuve, devenir quelqu’un d’important dans des groupes de femmes. D’après elle une femme, même forte et intelligente, qui n’avait pas d’homme au côté duquel se tenir, était inévitablement condamnée.