La solitude des agents de conduite
Etre seul pour conduire un train c'est d'abord une surcharge de travail, de fatigue. C'est aussi la disparition du contact avec l'autre, l'échange des expériences, du savoir-faire.
En cas de difficulté, c'est être seul, sans possibilité de discuter, de raconter, de confronter, de transmettre.
Etre seul, c'est perdre tout ce que la rentabilité ne veut pas connaître.