[...] confronté a l'absence de sens, l'humain panique. Il vit une angoisse primale. Pour moi, échapper à cette situation que je percevais comme absurde à été une réaction de l'ordre de la survie. Incontrôlable, profondément émotionnelle et comparable à celle d'un animal se soustrayant instinctivement à des chocs électriques qu'on aurait tenté de lui infliger dans une cage.