Voyez-vous, Lazare, je crois que vous n’êtes pas fait pour cette époque. Je vous vois comme un humaniste qui s’ignore ; un jouisseur de la vie, un consommateur en puissance, mais singulièrement bridé. Il me chagrine qu’un jeune homme de votre qualité n’ait encore jamais pu goûter aux joies honteuses du XXIe siècle ni à ses plaisirs désormais interdits