Ici, nous avons le père Jean-Baptiste. Un prêtre. Un homme qui a voué sa vie au service de Dieu. Mais qui mais souffre aussi d’un grave trouble dissociatif de l’identité. Deux personnalités totalement différentes cohabitent dans le même corps. La première, dominante, est profondément croyante. La deuxième seconde a horreur de tout ce qui a trait à la religion. Le père Jean-Baptiste a tué dix-sept religieuses. Il leur fracassait le crâne avec un goupillon pour les punir de s’agenouiller devant un Dieu imaginaire.