Les corps étaient allongés frileusement dans la lumière bleutée de l'aube, alors que le soleil ne brillait pas encore. Les bords de leurs vêtements s'agitaient. Rien d'autre ne bougeait, sauf leurs cheveux. Les chaussures noires ainsi que les tabi blancs restaient immobiles. Troublé, l'ouvrier courut dans la direction opposée à celle qu'il prenait d'habitude. Il se précipita vers la ville et vint frapper à la porte vitrée du poste de police.
- Il y a des morts sur la plage !