Jusqu'à présent, il avait toujours considéré les chevaliers comme une race à peine humaine. Des centaures. Des hommes nés pour détruire, qui ne connaissaient qu'un seul geste : donner la mort. Gens de fer, gens de destruction, hommes couverts de mailles d'airain qui ne savaient que couper bras, têtes...et se seraient trouvés bien en peine de fabriquer une paire de sabots ou un pot de terre.