Cette fois, être la nature et l’humanité, les hostilités étaient déclarées, cette fois la nature s’attaquait aux humains et elle n’en finirait plus désormais de nous déborder, parce que, en plus des nouveaux agents infectieux, il faudrait se confronter à la montée des océans, aux vagues de chaleur et surtout au manque d’eau douce qui soulignerait le triomphe des eaux salées. Le feu et le sel, ces périls ultimes, signeraient la mort de toute vie.