Notre âme, lorsqu’elle écoute, entend tout, comprend tout, peu importe la langue, peu importe la misère dans laquelle nous sommes plongés. C’est un mystère auquel il suffit de consentir pour voir s’ouvrir les portes de la perception, celle de la parole du cœur, qui sont aussi celles du cœur de la parole. (p. 141-142)