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Critiques de Shel Silverstein (51)
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L'arbre généreux

C’est un livre délicat et très triste en effet, pour lequel il y a déjà de belles et « généreuses » critiques.
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L'arbre généreux

Belle histoire d'amour entre un arbre et un enfant.

On peut expliquer (ou pas) aux plus jeunes que les comportements de cet arbre ressemblent beaucoup à ceux d'un parent - il câline, joue, réconforte, donne ce qu'il peut, aime sans réserve, respecte, laisse partir, attend sans garder rancune...



Le dessin est épuré : de simples contours en noir et blanc. Le texte est très bref aussi, sauf sur deux pages. Bel album émouvant et poétique, plus classique (et moins 'philosophique') que l'excellent "Petit Bout manquant" du même auteur.
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Meurtres et Obsessions 2003

J'ai lu quelques nouvelles mais pas toutes. J'ai emprunté ce livre dans la petite bibliothèque où je travaille, un peu par hasard. Je ne suis pas un fan des polars, loin de là. Mais certaines de ces nouvelles ne me passionnent pas du tout, d'autres un peu plus. Dans l'ensemble, je reste un peu sur ma faim. Peut-être n'était-ce pas le bon moment ? je réessaierai plus tard.
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Si j'avais une girafe

En lisant Shel Silverstein, on entre dans le monde de tous les possibles, en regardant ses illustrations, on embarque dans une divagation au long cours. Un univers tapissé d'un doux délire où l'imagination n'a aucune borne. Le noir et le blanc s'associent et se répondent avec bonheur sous les yeux amusés du lecteur. Le dessin s'étire sur les deux pages, sortant même parfois du cadre, provoquant ainsi une immersion immédiate.

Auteur et illustrateur (et il a beaucoup d'autres cordes à son arc d'artiste!), Shel Silverstein (1930-1999) est un adepte du non-sens dans ses albums jeunesse – découvert avec On a toujours besoin d'un rhinocéros chez soi –.

Encore une fois, il met en scène un petit garçon et un animal, ici une girafe qu'il dôte d'humanité. Il commence par la vêtir, la coiffer, puis arrivent accessoires et autres animaux réels ou mythologiques – baleine, putois, dragon, serpent... –. Le petit garçon charge la girafe jusqu'à la faire crouler sous le poids de son imagination fertile et fantasque ... Les détails foisonnent, le blanc s'estompe, le noir s'installe dans un joyeux désordre puis les pages s'éclaircissent à nouveau... la girafe se dépouille devant un petit garçon au sourire radieux.

Un album loufoque et attendrissant où le non-sens règne pour notre plus grand plaisir. Le texte se fait comptine, le dessin envahi la page blanche dans un rythme déchaîné. Ça remue, ça s'agite et on adore, forcément!
Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..
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Lafcadio, le lion qui visait juste (ou) Le ..

Lafcadio est un lion curieux, qui, s'emparant de l'arme d'un chasseur et à force d'entrainement, va devenir le meilleur tireur du monde. Embauché dans un cirque, il quitte la brousse pour suivre une carrière d'artiste et connait la gloire et la richesse. Mais est-il vraiment heureux ?

Un roman loufoque avec un lion qui parle, amateur de marshmallows, qui veut ressembler aux hommes mais sa recherche d'identité va peu à peu lui faire comprendre que l'argent ne fait pas le bonheur et que la nature profonde de chacun ne peut être modifiée...

Beaucoup d'humour dans ce récit mais aussi des questions philosophiques : Lafcadio est un lion naïf qui se met parfois dans des situations cocasses, persuadant les hommes d'un simple rugissement...

A partir de 9/10 ans.
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Le petit bout manquant

Cette petite créature (qui rappelle Pacman, un gâteau entamé ou les cercles incomplets du Trivial Pursuit) court, ou plutôt roule, à la recherche de son 'petit bout manquant'. Elle fait des découvertes et des rencontres plus ou moins satisfaisantes. Comme Boucle d'Or, elle trouve du trop petit, du trop grand... Pas facile : il lui faudra parcourir un long chemin pour trouver.



Graphisme extrêmement épuré, comme sur la couverture : la petite créature et quelques éléments rencontrés dans sa quête. Elle roule, roule, roule, avance, nous entraîne, et on tourne les pages de plus en plus frénétiquement, curieux de savoir...



Album totalement réussi à tous points de vue, tout au moins pour les adultes. Sentiment d'incomplétude, éternelle insatisfaction, image de soi, quête du bonheur, peur de la solitude, recherche de l'amour et de l'âme soeur, complexe de castration, parcours initiatique. Des notions bien compliquées pour un album destiné au 4-5 ans. Quid du premier degré de lecture ?



Junior (16 ans) a aimé et pense qu'il se serait régalé à écouter et regarder cette histoire, petit. Pour ma part, j'associe les messages de cet ouvrage à ceux du Petit Prince, fable excellente pour grands ados et adultes, mais qui m'avait mise mal à l'aise en grande section de maternelle, malgré (ou à cause de ?) la présentation par l'institutrice...



J'espère trouver la suite : 'Le petit bout manquant rencontre le Grand O'.
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L'arbre généreux

Il est des classiques qui méritent d'être remis à l'honneur, celui-ci en fait parti. Un pure bijou de générosité dans le propos et l'intention, concentré dans des dessins épurés. L'histoire donne une dimension sensible supplémentaire aux différentes illustrations qui nous racontent cette relation forte entre cet arbre protecteur et ce petit garçon. "Il était une fois un arbre...", cela commence ainsi. Donnant de ses feuilles pour une couronne, offrant son tronc, ses fruits et ses branches pour des goûters et des instants de jeu inoubliables, l'arbre ne rognera sur aucun sacrifice afin que le garçon qu'il vit grandir ne manque de rien. L'enfant grandira évidement, réclamera et l'arbre donnera.



Quelle magnifique métaphore de la paternité et de la maternité qui ne cessent jamais, puisque lorsque l'on décide d'aimer au premier jour, nous aimons pour toujours ces petits! Cette métaphore s'étend à toutes les relations intergénérationnelles de promixité, oncles, tantes, grand-parents et parrainages.Un bel album afin de mettre ce rôle protecteur de la jeunesse en valeur et de partager un autre moment riche, celui de la lecture. Nous remercierons de nouveau la bonne âme d'institutrice qui nous la recommandé. Une très bonne idée!
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Le bord du monde

En 1985 la version audio de ce livre (édité en 1974 sous le titre Where the sidewalk ends) avait reçu la récompense du meilleur album aux Grammy awards. Un monde merveilleux où on peut vendre sa sœur, laver son ombre, planter des diamants, voir des crocodiles chez le dentiste … L’illustration réalisée par l’auteur appuie l’originalité des textes porteurs de très nombreux centres d’intérêts et sentiments qui animent les jeunes. Des formes et sujets pouvant être aisément repris pour une création suggérée à l’enfant, de très nombreuses exploitations sont possible. Ainsi avec le poème Qu’est-ce que tu as dans ton sac ? on peut repartir sur le sujet du contenu du sac. Dans le texte Si le monde était fou, on peut remplacer les verbes manger, porter et faire par d’autres comme visiter, dessiner, soigner et alors susciter des réponses dans un esprit similaire à l’original. On peut adapter le poème Chapeau où le jeune enfant s’est coiffé d’une ventouse, en utilisant une passoire, casserole, chaussure, vase en plastique … Un ouvrage au contenu séduisant qui stimule aisément le développement du propre imaginaire du jeune lecteur.
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L'arbre généreux

Il existe des albums jeunesse si forts si profonds qui nous touchent droit au coeur. L'arbre généreux est de ceux là. Comment résumer en si peu de magnifiques illustrations et en phrases courtes le don sans limite, l'abnégation, la générosité mais aussi le temps qui passe, l'insatisfaction, l'inéluctable. On est tour à tour l'arbre, l'enfant, l'adulte .. On pourrait se laisser engloutir par tant de tristesse.. Mais il y a plus encore dans cet album: on se retrouve enfant et on s'y voit adulte. Ce magnifique livre - pour les enfants et pour les adultes- est une leçon de vie tout simplement
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L'arbre généreux

Avec peu de moyens graphiques et littéraires, voilà un bel album à recommander chaudement pour les enfants entre 6 et 9 ans.



Qu'on ne s'y trompe pas... quand je dis "peu de moyens", c'est justement de ce minimalisme, cet épure, que l'album tire sa force.



Un arbre et un garçon vont évoluer au fil des vicissitudes de la vie. L'arbre est immuable, le garçon devient un jeune homme, un homme, un vieillard... A chaque rencontre, l'arbre revit, nostalgique. Mais le garçon a de nouvelles demandes. Et l'arbre les satisfait.



Album métaphorique sur les cycles de la vie, sur l'usage que l'homme fait des ressources naturelles, sur le don de soi... C'est très poétique et sensible.



"C'est touchant" m'a dit mon aîné (7 ans et demi) lors de la lecture. Oui, cela touche, là où cela fait mal et du bien en même temps. A l'âme.
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On a toujours besoin d'un rhinocéros chez soi

Après avoir lu cet irrésistible album, vous ne regarderez plus les rhinocéros de la même manière. Vous pensiez que cet animal cornu était pataud, laid et méchant, vous serez ébahi par sa légèreté, sa gentillesse et sa joie de vivre. Il n'y a pas plus doux, plus serviable, plus rigolo qu'un rhinocéros ! On a toujours besoin d'un rhinocéros chez soi, c'est ce que démontre page après page l'auteur et illustrateur (et réalisateur, scénariste, poète, compositeur!) Shel Silverstein, décédé en 1999. Connu et apprécié dans le monde entier, Who Wants a Cheap Rhinoceros ?, paru en 1964 aux États-Unis a été traduit dans 17 langues et vendu à plus de 255 000 exemplaires.

L'album s'ouvre sur trois enfants debouts devant un panneau À VENDRE. Serrés les uns contre les autres, ils ont l'air dubitatif et il y a de quoi ! Car ce qu'ils découvrent est tour à tour désopilant, inventif, tendre et fantaisiste.

Le rhinocéros « à adopter », présenté comme un animal de compagnie a le premier rôle, il est partout ; Utile, sa corne fait un bon gratte-dos, un merveilleux porte-manteau, très pratique comme support de beignets... Joueur, le rhinocéros se déguise pour le bonheur des enfants en terrible pirate ou en gendarme, adore jouer à la corde à sauter... Efficace, il fait disparaître les mauvaises notes dans sa gueule, et est le meilleur pour intimider les parents qui ont oublié de donner l'argent de poche... Un peu maladroit aussi, disons qu'il manque de délicatesse, pour ouvrir une porte par exemple... Chaleureux, il peut devenir un confortable fauteuil... Coquin, il se sert de sa corne pour imiter le requin, histoire d'effrayer quelques baigneurs... Je vous laisse découvrir par vous-même la longue et hilarante liste de ses multiples fonctions. Bon, vous l'avez compris, ce rhinocéros est indispensable dans votre vie quotidienne!

Les illustrations épurées, au stylo et à l'encre, sans aucune couleur, sont époustouflantes de drôlerie et de tendresse. Le texte est bref et percutant. Malin et original, drôle et tendre, cet album est une pépite, il s'en dégage une gaieté incroyable. Et puis, qu'est-ce qu'il est beau, ce rhino... dire que ces animaux sont en voie de disparition... Alors, attrapez le vite avant qu'il ne vous échappe!


Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..
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Le bord du monde

Il s'agit ici de la première traduction en français de l'ouvrage Where the sidewalk ends paru en 1974 aux USA. L'auteur, né en 1930, est connu outre-Atlantique tant par sa production de poèmes et d'illustrations en littérature de jeunesse que pour ses créations de chanson interprétées par des personnages aussi différents que Mick Jagger et Jerry Lewis. Des dessins originaux et drôles accompagnent la majorité des poèmes proposés, ceux-ci sont en partie placés sous le signe du nonsense anglais.



La forme s’inspire en partie de la poésie anglaise populaire traditionnelle sur des thèmes contemporains qui renvoient à des désirs inavoués (comme vendre sa sœur), l’imaginaire enfantin (par exemple les pirates), la fusion avec la nature (ainsi pour une maison dans un arbre), les loisirs (entre autre collectionner à l’infini), des sentiments divers, des contes ( à savoir Le Joueur de flûte de Hamelin ou Paul Bunyan le bucheron géant) … Nombre de ces textes peuvent servir aisément de point de départ pour des créations par les jeunes.



A noter que la traduction de Françoise Morvan, elle-même poète pour les jeunes, est remarquable.


Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..
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Lafcadio, le lion qui visait juste (ou) Le ..

Les aventures d'un jeune lion qui par curiosité va s'emparer de l'arme d'un chasseur. A force d'entrainement il devient le meilleur tireur du monde et est contacté par un directeur de cirque qui le conduit dans une grande ville. C'est là qu'il rencontrera oncle Shelby, le narrateur de cet histoire. Il va devenir immensemment célèbre mais alors vont se poser des questions métaphysiques : Est-il devenu un homme ? Est-il toujours un lion ?

Une histoire loufoque qui mèle un lion parlant ( et grognant) aux hommes très amusante qui devrait ravir les enfants ( à partir de 9 ans).
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Le bord du monde

Une critique de Guénaël Boutouillet qui met en avant le travail remarquable de la traductrice Françoise Morvan et quelques autres aspects du livre. Ce texte conséquent est à lire à la page 22 dans Encres de Loire, revue basée à Nantes, qui est servie à toutes les médiathèques de la région des Pays de la Loire.
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L'arbre généreux

« Auprès de mon arbre je vivais heureux, je n'aurais jamais dû m'éloigner de mon arbre » chantait Georges Brassens.

Tout au long de la vie, on peut donner quelque chose à l'autre et cela nous rendra heureux. On peut s'interrroger sur ce don de soi poussé à l'extrême qui ne réclame aucune reconnaissance.

Ce très bel ouvrage sur la générosité aborde des thèmes simples et profonds comme le cycle de la vie, la mort, l'amitié, l'égoisme, la nature...

Nul besoin d'emphase dans le texte ni dans les illustrations le message est fort et fort beau !!!!

En refermant ce livre, vous ouvrez votre esprit à la différence.
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On a toujours besoin d'un rhinocéros chez soi

Un classique dont on ne se lasse pas !
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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L'arbre généreux

Malgré son appartenance à l’histoire du livre jeunesse, L’arbre généreux est d’une actualité frappante. L’allégorie tient en quelques mots : un pommier qui donne aime un homme qui prend. Comment être assez égoïste pour ne pas voir la beauté de ce don de soi et le respecter en conséquence ? C’est bien la question que l’on se pose à la lecture de ce petit chef d’œuvre, qui condense en quelques traits criants de vérité l’histoire de l’homme et de la nature. Pour y faire réfléchir les enfants… et leurs parents.

Elisa

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Lafcadio, le lion qui visait juste (ou) Le ..

Au fond, qu’est-ce qui sépare l’homme de l’animal ? Le sport ? La plongée sous-marine ? L’art ? Les vacances à Cannes ?



Oncle Shelby a la chance de rencontrer un lion pour le moins original, et il souhaite nous raconter son histoire.



Lafcadio vit dans la jungle. Il s’appelle d’ailleurs peut-être plutôt Ruggrrg ? Ou Grmmff ? Ca fait quand même plus lion, plus féroce !



Bref, peu importe. C’est un jeune lion bien simplet qui ne connait pas grand chose. Il aime dormir, manger et se baigner à la rivière. C’est donc tout naturellement que le jour où un chasseur arrive à grand pas, il va entamer un brin de causette avec lui. Or voilà, le chasseur n’est pas si sympathique qu’il y parait et va essayer de l’abattre. Notre ami décide alors de se défendre et va littéralement bouffer ce jeune chasseur prétentieux et s’emparer de sa longue canne en bois. De son fusil.



Quand tous les autres lions le voient arriver, ils n’en reviennent pas. Mais Lafcadio ne s’arrête pas là. Il décide d’apprendre à se servir de cette drôle d’arme. A force d’entrainement, il devient le meilleur tireur de l’ouest. Il commence à s’ennuyer. Il a appris à tirer avec la langue, la queue, les crocs, de dos, en faisant le poirier… Et il ne sait plus vraiment quoi faire de cet engin.



Tadam !!! Arrive alors un bonhomme un peu bizarre, tout d’or vêtu, qui va lui proposer d’intégrer son cirque et les soirées mondaines d’une Amérique people.







L’auteur a une façon bien à lui d’écrire. Et l’illustration qui accompagne le texte a tendance à le sauver d’une lassitude qui pointe le bout de son nez.



Le texte s’articule autour de jeux de mots, d’onomatopées et de calembours qui prêtent à sourire et peuvent parfois être compris à différents degrés.



Le point de vue du narrateur est intéressant et inclus le lecteur de façons parfois inattendues dans le roman. On se sent prit à parti, on se sent parfois même jugés ou juge d’une société contemporaine peut-être un peu trop superficielle.







C’est en gros un texte plutôt intéressant, avec une histoire qui tient en haleine mais peut avoir tendance à nous perdre si notre téléphone sonne pas bien loin. Alors coupez tout, et concentrez vous sur ce texte pour l’apprécier pleinement ! graooooouuugrr !!!







Ouvrage paru aux excellentes éditions Les grandes Personnes depuis Mars 2013. Destiné aux jeunes lecteurs, à partir de 9 ans, mais aussi aux plus vieux qui souhaitent retrouver un brin de folie et de présence absurde au monde.



Traduit de l’anglais.



Réédition du livre au même titre (évidement) paru aux éditions Passage piétons en 2006.
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Le rhino facile : Edition bilingue français-a..

Un livre pour connaître toutes les « bonnes » raisons d’avoir un rhinocéros chez soit !!!



Entre son utilité comme portemanteau ou comme partenaire pour faire de la corde à sauter, à chaque page on trouve une des nombreuses « très bonnes » raisons d’adopter ce mignon « petit » rhino qui est proposé au début du livre.



Les illustrations et les textes sont simples et bourrés d’humour, et à chaque page on trouve ce texte en anglais et en français, ce qui, vu la simplicité des phrases peut participer à l’initiation à cette langue (même si tous les mots ne sont pas non plus trop simple)



Enfin, c’est un délice d’avoir ce manuel du « Rhino Facile » !!

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L'arbre généreux

Depuis 1982, l'école des loisirs réédite cet album. On voit un enfant grandir, près d'un arbre, toujours là pour lui offrir un fruit, de l'ombre, un endroit où jouer, où se reposer..



Un classique à la mise en page sage, texte et illustrations en noir et blanc . Un message de paix, d'hymne à la nature mais aussi qui parle du temps qui passe, du vieillissement, du cycle de la vie. Ecrit en 1964, cet ouvrage résonne encore aujourd'hui tellement il est juste.



à (re)découvrir absolument
Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
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