Rosette n'a pas beaucoup de culture de l'architecture ou des beaux-arts, elle réagit dans un premier degré de gamine époustouflée, éblouie par la décoration néomauresque du Mena House, ses salons dégoulinants d'orientalisme doré, ses lustres monumentaux et ses portraits géants de Napoléon III et de l'impératrice Eugénie, trace plus conséquente de leur passage qu'une signature dans un livre d'or.