- Jusqu'à présent je trouvais bien pénible le destin qui ne m'avait donné qu'un seul enfant et pas de fils. Mais je croyais t'avoir toujours témoigné de la tendresse et ne m'être jamais montré dur à ton égard. Je pensais te voir heureuse et honorée avant ma mort. Il eût été préférable que je fusse sans enfant plutôt que de t'entendre qualifiée de putain et de voir ton bâtard grandir au domaine dans ma vieillesse.