Rares sont les personnages de pères qui ont marqué de manière positive l’univers magique des contes de fées. Ces hommes meurent le plus souvent au début du récit, disparaissent dès l’incipit, au mieux à la fin de la première page. Ou alors ce ne sont que des mollassons sans envergure sur qui on ne peut guère compter.
(Boréal, p.14)