Tu rêves de moi. Un rêve confus où je me penche sur toi. J’embrasse tes yeux, tes cils d’où perlent de grosses larmes. Les rêves sont cruels, ils sont entiers dans l’amour comme dans la haine, dans la terreur, la tendresse ou l’horreur. Quand tu te réveilles, je te manque à tel point que tu en sanglotes de rage et de douleur, d’une souffrance si cristalline qu’elle en est presque exquise.