Plaisir si intense, semble-t-il, qu’on ne pouvait comprendre comment on avait vécu jusque-là sans ce festin offert aux yeux et aux oreilles, sans ce bouillonnement d’émois.
Au temps de Périklès, nul ne rechigne à l’idée qu’il faudra, en trois jours, assister à neuf tragédies, à trois drames satiriques et à trois comédies !