Au fond, Barbès, c'est pas différent de Baabda. les mêmes têtes de mercenaires qui en ont déjà trop vu, la même odeur de fleur d'oranger mêlée à la crasse, la même musique entre les cris des mômes et les hurlements des alcoolos du café d'en bas , les mêmes visages de vieilles mères fatiguées, la même merde dont tout le monde se fout royalement.