Le lettré rentra chez lui en soupirant. Il choisit à tout hasard un jour favorable et attendit, sans trop compter sur une promesse de fantôme. Entre-temps, il retourna au temple dont il retrouva les bâtiments vides de tout habitant. Les gens de l’endroit auprès desquels il s’informa lui dirent que l’on y voyait souvent des renards. Le lettré songea sans se l’avouer que s’il pouvait épouser la belle inconnue, peu lui importait après tout qu’elle fût un renard changé en femme. (p. 38)