Ses lectures l'aidaient à prendre du recul et à porter un autre regard sur l'humanité. Mais surtout, elles l'aidaient à accepter une chose, excepté l'inéluctabilité de la mort: le fait que face à n'importe quelle situation, face à ses choix, à la maladie et à sa propre fin, l'être humain est seul, désespérément seul.