Les anciens en parlaient comme de la foret des mirages et des illusions. Une terre sauvage, ou des fées aux chants envoutants trompent le profane égaré, où l’écho du choc des épées résonnent sur les roches de schiste rouge teintées du sang de preux chevaliers. (…) il se dit que, lors du passage de la saison claire à la saison sombre, la foret ouvre ses portes aux créatures de l’Autre Monde.