Il fait alors quelque chose qui me surprend totalement. Il se met à genoux devant moi, plaçant ma main sur son
épaule pour que je garde l'équilibre. Il lève mon pied et le glisse dans le talon aiguille, comme s'il était le prince
charmant de Cendrillon. Ses mains sont étonnamment douces alors que ses doigts touchent la voûte de mon pied.
Il attache la lanière, puis me fait enfiler la seconde chaussure. (p.153)