Je sais l’enfance, mais je ne sais pas ce que c’est d’être un petit garçon de cinq ou dix ans. Je sais l’adolescence mais pas les effets de la puberté dans un corps de garçon. Je ne connais pas non plus la pression sociale, la pression du groupe, l’injonction à être un mec, ni comment ils se traitent entre eux. Je devine ce qui se trame autour de la virilité, les efforts déployés pour masquer la moindre émergence de vulnérabilité, et lui en parle.